HtmlToText
telle est la question ! accueil a propos auteur: bibi articles récents rêves … le lacet : nouvelle arme de destruction massive? moi? mon velo et encore ma poisse …. moi, mon velo et………… ma poisse….. ode à ma machine à laver le 13 porte t-il malheur? ou bien c’est juste …… normal? premier article catégories non classé archives septembre 2008 juillet 2008 commentaires récents le temps qui passe juillet 2019 l ma me j v s d « sept 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 liens créer un blog unblog.fr méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires rêves … posté par ju le 6 septembre 2008 aujourd’hui, je me souviens de mon rêve…. george clooney, brad pitt?? et bien non. j’ai battu gi jo par yuko sur mon lit. oui oui la marionette gi jo… c’est dire que parfois on prefererait ne pas se souvenir de ses rêves! en plus j’a jamais aimé le judo moi…. publié dans non classé | pas de commentaire » le lacet : nouvelle arme de destruction massive? posté par ju le 28 juillet 2008 aujourd’hui, un objet insignifiant, un objet auquel personne ne peux attribuer d’actes terroristes (du moins jusqu’à aujourd’hui) à décidé d’attenter à ma vie. cet objet, c’est : mon lacet de chaussure. oui. précision supplémentaire : mon lacet de chaussure droite, l’autre n’a pas encore eu vent de ce qui c’était passer et je compte bien le laisser dans cette ignorance. (quoi que je redoute ce qu’il peut se passer cette nuit…) moi qui venais d’acheter ces chaussures ! je les prends tous les jours, même que je défais les lacets avant de les enlever ! c’est dire à quel point je les bichonne les petites ! bref, aujourd’hui mon lacet de chaussure droit à été pris d’une crise de démence, de folie meurtrière contre moi. en effet, alors que je rentrais de ma journée de travail à velo (oui oui je vous expliquerai comment j’ai fini par le réparer), le voilà qui commence à s’enrouler autour de ma pédale, l’air de rien. bon vous me direz c’est moins dangereux que dans la chaîne (oui un point positif)…. alors évidemment, quand ce genre de phénomène arrive (en pleine descente), on ressent comme un léger malaise, une sensation d’étranglement au niveau de la cheville et, au moment où la vie défile devant vos yeux, on réfléchit sur la meilleur option : « tomber du côté gauche ou du côté droit ?» sans aucune allusion politique. je ne sais d’ailleurs toujours pas quelle obscure secte religieuse anti julie a enrôlé mon lacet enfin « le lacet assassin ». je dirais même qu’il y eu préméditation. dans l’après midi, alors que je courais dans les couloirs du labo, en slalomant entre les escabeaux des électriciens et en tentant d’éviter mes collègues innocents, j’ai manqué de m’envoler en vol plané dans les jolies plantes qui ornent le couloir. les plantes vertes, bon ça va c’est pas dangereux. en revanche le joli muret en briques orange qui les entoure m’a fait « un peu » peur. heureusement que mon épaule à été stoppée grâce à la colonne en plâtre qui trône au centre du couloir. aïe. j’aurai pu me rattraper avec la main si je ne me l’étais pas explosée 30 minutes plus tôt contre une poignée de porte… re aïe. j’avais été prévenue ! mais je n’ai pas été assez maline pour voir les signes avant coureurs de ce qui allait se passer. ah si seulement… et bien non ! tout n’est pas perdu ! la chance aurait-elle tournée ? au lieu de m’étaler lamentablement comme une vache avec un sabot coincé dans un trou de taupe, j’ai freiné, me suis arrêtée, mais le plus important : sans tomber ! certes, j’avais l’air cruche. me voilà entrain de sautiller (et croyez moi avec un vélo entre les jambes ce n’est vraiment pas pratique…) pour me « coucher » sur le bas côté (tiens du côté droit d’ailleurs) afin d’atteindre ma chaussure. « yes ! c’est bon je suis libre ! » dis-je avec un grand sourire aux lèvres, en plus mon lacet, auquel masochistement je tiens quand même, n’est pas cassé : attentat manqué, mission anéantie. que penser alors, quand un homme à pieds est passé près de moi, lui aussi avec un grand sourire ??? avait-il assisté à toute la scène ? ou bien est ce que décidemment je perds plus mon pantalon que je ne le croyais laissant entrevoir ma culotte ? décidemment ce « lacet assassin » a de la ressource… bon n’y pensons plus, l’essentiel c’est que je sois arrivée chez en un seul et unique morceau. au premier étage (mon étage), j’ai vu un vélo attaché à la balustrade des escaliers. inutile de vous dire que j’ai déjà lancé les paris pour savoir quand la vieille se plaindrait où si le propriétaire retrouverait son vélo avec sans selle ! imprudent, il a été ! moi j’ai maintenant un antivol de selle gnark gnark gnark ! oui c’est puéril. publié dans non classé | pas de commentaire » moi? mon velo et encore ma poisse …. posté par ju le 24 juillet 2008 hello les gens! il n’aura pas fallut longtemps pour sortir le 2eme épisode de juliealapoisse.fr !! hier soir, j’ai terminé mon travail à une heure sympathique (17h), il fait beau, je suis à peu près de bonne humeur et j’ai un barbecue avec spécialités allemandes qui m’attend pour ce soir. je décide donc de rentrer chez moi (en rer évidemment). en arrivant dans l’entrée de ma résidence, qui vois-je?, aller devinez? mon gardien qui arrosait les plantes… je me dis ok lance un « b’jour » et casse toi. et là, il m’interpelle: « faut pas m’en vouloir pour le vélo » je dis: «ah oui??? ». et bien je vous le donne en 1000, c’est l’espèce de petite vieille qui est allée se plaindre auprès du gardien pour le vélo!!!!! oui oui la même qui essayait vainement de voir ce qu’il se passait derrière ma porte. et, apparemment, ce n’était pas la première fois! la présence du vélo sur mon balcon oui oui sur mon balcon semble la défriser. ah elle est belle la retraire… je meurs d’envie de lui laisser un gros caca de chien devant sa porte ou alors une boîte à meuh, un morceau de fromage bien fait dans sa boîte à lettre, mon imagination foisonne! bref…. prise d’un soupçon d’envie de faire la vaisselle, ni une ni deux je monte le son et je m’y attelle de suite! et puis, effet boule de neige, l’aspirateur, le nettoyage des toilettes, les poussières, le linge, tout y est passé. l’heure du barbecue arrive, je me dirige chez laure avec mon vélo à réparer. en 15 minutes, telle une reine (oui je m’auto complimente, j’en ai besoin), me voilà avec une roue fonctionnelle. seul truc : j’ai tordu le dérailleur arrière… bon je retords le dérailleur dans l’autre sens et ma fois ça a l’air de marcher. par acquis de conscience, je demande au mari de laure de jeter un coup d’œil. il prend le vélo et fait un tour dans la rue: tout est ok !! = joie immense. mais non, c’est alors que d’un coup d’un seul, la poisse décide une nouvelle fois de s’abattre sur moi! nooooonnnnnnnn. explications: j’entends, venant à nouveau du pneu arrière, un son que malheureusement j’identifie très très rapidement pfchuiiiiiit. pierre (le mari de laure) vient de rouler sur un gros morceau de verre et par la même occasion, de ruiner la dernière chambre à air qu’il me restait, vous le croyez ça! bon il me pose des rustines sur les 2 chambres à air crevées, on en remet une en place, on remonte le pneu et enfin on regonfle le tout. pour s’apercevoir que (véridique) le pneu lui aussi est très atteint et qu’il serait dangereux de rouler comme ça (déjà que: «je loule sans casque! »). entre temps, le barbecue était un délice tout comme la bonne bière allemande! l’heure de rentrer chez moi approche et je regarde d’un air inquiet mon vélo. je tente ou j’tente pas? mouais aller je tente. après tout, j’en ai pas pour longtemps à rentrer en vélo et si je tombe/crève/roule dans une crotte de chien/percute un extra terrestre, laure n’est pas loin. je suis arrivée jusqu’à chez moi sans encombres même si, finalement un extraterrestre ou un fantôme, a fait en sorte que les vitesses passent toutes seules… j’suis pas encore sortie de l’auberge. encore une fois tout est véridique. bon je n’ai pas raconté comme